mercredi 14 octobre 2009

Les genres romanesques !

Autobiographique :

Les trois radicaux grecs qui constituent le mot définissent l'autobiographie comme "l'écriture de sa propre vie". Peu répandu dans l'Antiquité, le genre éclôt vraiment avec l'humanisme occidental et la réhabilitation de l'individu (« Je suis moi-même la matière de mon livre », affirme Montaigne au début des Essais, qui constituent l'œuvre la plus authentiquement autobiographique... et la plus inclassable).

Comique :

Le mot "comique" (du grec kômos, fête carnavalesque et rurale en l'honneur de Dionysos) désignait dans l'Antiquité toute pièce de théâtre. A partir du XVII° siècle, il qualifie les œuvres essentiellement théâtrales (les comédies) qui s'opposent à la tragédie dans leur finalité, qui est le rire, et leur dénouement heureux. Le registre comique s'applique à des sujets ordinaires, traités dans un style familier, où souvent domine l'intention satirique et morale : la comédie "châtie les mœurs en riant", tournant en ridicule des caractères ou des vices à la mode.

Didactique :

Le genre argumentatif est ici concerné au premier chef dans son intention d'informer autant que de convaincre. Le mot "didactique" est formé sur le grec διδακτικός (« propre à instruire »). Mais les œuvres qui entrent dans le genre didactique ne se caractérisent pas toujours par une simple fonction référentielle ou informative, et c'est à ce titre qu'elles font partie de la littérature. De fait, nous ferons entrer dans cette catégorie un ensemble de textes où, si le propos est toujours d'instruire, les formes sont extrêmement diverses, que la littérature entreprenne de réfléchir sur elle-même ou qu'elle s'allie à toutes les sciences humaines.

Dramatique :

Le bas-latin drama (action) est à l'origine de l'adjectif, qui désigne très généralement toute œuvre théâtrale. Il prend néanmoins un sens particulier avec l'apparition du drame. Né au début du XVIII° siècle du déclin de la tragédie et de l'observation des mœurs à laquelle s'est vouée la comédie, le drame se compose de deux sous-genres : le drame bourgeois et le drame romantique. Dans les deux cas, le ressort tragique du fatum a disparu : les personnages manifestent leur liberté, et le dénouement, souvent malheureux, n'est dû qu'à des facteurs humains. Le mélange des registres (tragique, sublime, grotesque, pathétique) satisfait au désir de vraisemblance.

Epique :

Le mot épopée est issu du grec epos, parole, et poiein, faire. L'épopée consiste donc à raconter, et il est probable que les premiers récits présentaient tous les caractères du genre épique : narration d'un haut fait devenu légendaire, nimbé d'éléments merveilleux et dont le héros, à la valeur surhumaine, entre en conflit avec des forces gigantesques dont il triomphe, fût-ce dans la défaite. Ce personnage, toujours masculin, est porteur d'une morale destinée à exalter une collectivité (famille, nation) ou symboliser la grandeur humaine.

Epistolaire :

L'adjectif provient du latin epistula (lettre). Le genre épistolaire est très répandu dans l'Antiquité (Sénèque, Lettres à Lucilius) et a constitué jusqu'à nos jours un élément indispensable de la vie intellectuelle. La lettre a permis aux écrivains d'agir (Voltaire), de se dévoiler de manière plus intime (Balzac) ou d'exposer leur esthétique (Flaubert), nous donnant ainsi de précieux documents sur l'élaboration de leur œuvre.

Lyrique :

Le mot lyrisme est issu du mot lyre, en raison du rôle joué par cet instrument (c'est celui d'Apollon et d'Orphée) dans l'accompagnement musical. Il caractérise l'expression poétique des émotions, et c'est à ce titre qu'on peut appeler thèmes lyriques le sentiment de la Nature, l'amour et l'amitié, la mélancolie, l'effroi devant la mort, l'adoration religieuse... Hugo définit comme lyriques les temps primitifs : «la première parole de l'homme n'est qu'un hymne : la prière est toute sa religion, l'ode est toute sa poésie.»

Merveilleux et fantastique :

La distinction entre merveilleux (du latin mirabilia, choses admirables) et fantastique (du grec phantasia, imagination) tient au statut différent du personnage à l'égard d'événements qui, dans les deux cas, relèvent du surnaturel. Dans le merveilleux, une cohérence parfaite s'installe entre le personnage et l'univers dans lequel il évolue, alors que dans le fantastique, le personnage est terrifié par l'apparition de phénomènes qu'il perçoit comme étranges. Quand le merveilleux propose au lecteur un monde féerique où rien ne doit l'étonner, le registre fantastique le laisse dans une perpétuelle hésitation : doit-il reconnaître l'évidence du phénomène surnaturel ou se conforter dans son rationalisme ?

Oratoire :

L'adjectif "oratoire" est issu du verbe latin orare (parler, prier). Il englobe les types de discours destinés à être prononcés devant un public. Le genre, très ancien (orateurs grecs et latins : Démosthène), s'est épanoui à l'âge classique (Bossuet, Massillon, Bourdaloue). La rhétorique antique a codifié ces types de discours en trois genres : le genre judiciaire est consacré à la défense d'une cause; le genre épidictique exprime un idéal collectif par l'éloge ou le blâme; le genre délibératif vise à conseiller les membres d'une assemblée en confrontant des arguments contradictoires.

Polemique :
L'adjectif polémique est issu du grec polemos (guerre). Ce genre très ancien (satires de Juvénal) regroupe des textes engagés dans l'actualité, dont ils condamnent les errements moraux, religieux, politiques. L'écrivain du XX° siècle a particulièrement revendiqué ce rôle (Sartre : Qu'est-ce que la littérature ?), pour lequel les formes adaptées choisissent un genre court et mordant : article, lettre ouverte, chanson.

Romanesque :

A l'origine, on appelle roman un texte en prose ou en vers écrit en langue romane (Le roman de la Rose, Le Roman de Renart). Dès le XVI° siècle, il désigne un récit en prose d'aventures imaginaires. Le genre romanesque, après avoir été longtemps considéré comme inférieur parce qu'il était lu de préférence dans la classe bourgeoise, arrive à son apogée avec elle au XIX° siècle. Il est depuis lors un genre protéiforme, où se sont accomplies toutes les expériences.

Tragique :

En dépit de l'usage banal que l'on fait de cet adjectif, son acception littéraire est exclusivement liée aux rapports que l'homme entretient avec le destin. Le mot "tragédie" est issu des mots grecs tragos (le bouc) et hedia (le chant). Ce "chant du bouc" est en fait la liturgie par laquelle on avait coutume de célébrer Dionysos. Ceci explique que la tragédie soit un genre sacré et n'ait guère d'autre expression que théâtrale. Au contraire du drame, la tragédie repose sur la conscience de la fatalité, contre laquelle se brisent inéluctablement les entreprises humaines. Devant ce conflit perdu d'avance, les sentiments cathartiques du public sont la terreur, la pitié et l'admiration.

Le romantisme !



Le romantisme est un courant artistique d'Europe occidentale apparu au cours du XVIIIe siècle en Grande-Bretagne et en Allemagne, puis au XIXe siècle en France, en Italie et en Espagne. Il se développe en France sous la Restauration et la monarchie de Juillet, par réaction contre la régularité classique jugée trop rigide et le rationalisme philosophique des siècles antérieurs.
Le romantisme s'esquisse par la revendication des poètes du « je » et du « moi », qui veulent faire connaître leurs expériences personnelles et faire cesser cet aspect fictif attribué aux poèmes et aux romans. Le romantisme se caractérise par une volonté d'explorer toutes les possibilités de l'art afin d'exprimer les extases et les tourments du cœur et de l'âme : il est ainsi une réaction du sentiment contre la raison, exaltant le mystère et le fantastique et cherchant l'évasion et le ravissement dans le rêve, le morbide et le sublime, l'exotisme et le passé. Idéal ou cauchemar d'une sensibilité passionnée et mélancolique, ses valeurs esthétiques et morales, ses idées et thématiques nouvelles ne tardèrent pas à influencer d'autres domaines, en particulier la peinture et la musique.

mercredi 23 septembre 2009

extrait pathétique

[Victime des sévices d'un père alcoolique, la petite Lalie Bijard agonise sous l'œil navré de Gervaise.]
Gervaise, cependant, se retenait pour ne pas éclater en sanglots. Elle tendait les mains, avec le désir de soulager l'enfant; et, comme le lambeau de drap glissait, elle voulut le rabattre et arranger le lit. Alors, le pauvre petit corps de la mourante apparut. Ah ! Seigneur ! quelle misère et quelle pitié ! Les pierres auraient pleuré. Lalie était toute nue, un reste de camisole aux épaules en guise de chemise; oui, toute nue, et d'une nudité saignante et douloureuse de martyre. Elle n'avait plus de chair, les os trouaient la peau. Sur les côtes, de minces zébrures violettes descendaient jusqu'aux cuisses, les cinglements du fouet imprimés là tout vifs. Une tache livide cerclait le bras gauche, comme si la mâchoire d'un étau avait broyé ce membre si tendre, pas plus gros qu'une allumette. La jambe droite montrait une déchirure mal fermée, quelque mauvais coup rouvert chaque matin en trottant pour faire le ménage. Des pieds à la tête, elle n'était qu'un noir. Oh ! ce massacre de l'enfance, ces lourdes pattes d'homme écrasant cet amour de quiqui, cette abomination de tant de faiblesse râlant sous une pareille croix ! On adore dans les églises des saintes fouettées dont la nudité est moins pauvre.

extrait tragique

Mme de Tourvel vient d'avouer à son amie son amour pour Valmont et l'informe de son départ, décision à laquelle il lui est difficile de se soumettre.]
Je m'y soumettrai sans doute, il vaut mieux mourir que de vivre coupable. Déjà, je le sens, je ne le suis que trop; je n'ai sauvé que ma sagesse, la vertu s'est évanouie. Faut-il vous l'avouer, ce qui me reste encore, je le dois à sa générosité. Enivrée du plaisir de le voir, de l'entendre, de la douceur de le sentir auprès de moi, du bonheur plus grand de pouvoir faire le sien, j'étais sans puissance et sans force; à peine m'en restait-il pour combattre, je n'en avais plus pour résister; je frémissais de mon danger, sans pouvoir le fuir. Hé bien! il a vu ma peine, et il a eu pitié de moi. Comment ne le chérirais-je pas ? Je lui dois bien plus que la vie. Ah ! si en restant auprès de lui je n'avais à trembler que pour elle, ne croyez pas que jamais je consentisse à m'éloigner. Que m'est-elle sans lui, ne serais-je pas trop heureuse de la perdre ? Condamnée à faire éternellement son malheur et le mien; à n'oser ni me plaindre, ni le consoler; à me défendre chaque jour contre lui, contre moi-même; à mettre mes soins à causer sa peine, quand je voudrais les consacrer tous à son bonheur. Vivre ainsi n'est-ce pas mourir mille fois ? Voilà pourtant quel va être mon sort. Je le supporterai cependant, j'en aurai le courage. Ô vous, que je choisis pour ma mère, recevez-en le serment ! Recevez aussi celui que je fais de ne vous dérober aucune de mes actions; recevez-le, je vous en conjure; je vous le demande comme un secours dont j'ai besoin: ainsi, engagée à vous dire tout, je m'accoutumerai à me croire toujours en votre présence. Votre vertu remplacera la mienne. Jamais, sans doute, je ne consentirai à rougir à vos yeux; et retenue par ce frein puissant, tandis que je chérirai en vous l'indulgente amie, confidente de ma faiblesse, j'y honorerai encore l'Ange tutélaire qui me sauvera de la honte. C'est bien en éprouver assez que d'avoir à faire cette demande. Fatal effet d'une présomptueuse confiance! pourquoi n'ai-je pas redouté plus tôt ce penchant que j'ai senti naître? Pourquoi me suis-je flattée de pouvoir à mon gré le maîtriser ou le vaincre ? Insensée ! je connaissais bien peu l'amour ! Ah ! si je l'avais combattu avec plus de soin, peut-être eût-il pris moins d'empire! peut-être alors ce départ n'eût pas été nécessaire; ou même, en me soumettant à ce parti douloureux, j'aurais pu ne pas rompre entièrement une liaison qu'il eût suffi de rendre moins fréquente ! Mais tout perdre à la fois ! et pour jamais ! Ô mon amie !... Mais quoi ! même en vous écrivant, je m'égare encore dans des vœux criminels. Ah ! partons, partons, et que du moins ces torts involontaires soient expiés par mes sacrifices. Adieu, ma respectable amie; aimez-moi comme votre fille, adoptez-moi pour telle; et soyez sûre que, malgré ma faiblesse, j'aimerais mieux mourir que de me rendre indigne de votre choix.
De ..., ce 3 octobre 17**, à une heure du matin.

extrait fantastique

Un billet anonyme a prévenu qu'« un crime serait commis pendant la première messe du Jour des Morts ».]
Encore quatre minutes ! Les oraisons. Le dernier Évangile ! Et ce serait la sortie ! Et il n'y aurait pas eu de crime ! Car l'avertissement disait bien : la première messe...La preuve que c'était fini, c'est que le bedeau se levait, pénétrait dans la sacristie... La comtesse de Saint-Fiacre avait à nouveau la tête entre les mains. Elle ne bougeait pas. La plupart des autres vieilles étaient aussi rigides. « Ite missa est...»... « La messe est dite »... Alors seulement Maigret sentit combien il avait été angoissé. Il s'en était à peine rendu compte. Il poussa un involontaire soupir. Il attendit avec impatience la fin du dernier Évangile, en pensant qu'il allait respirer l'air frais du dehors, voir les gens s'agiter, les entendre parler de choses et d'autres... Les vieilles s'éveillaient toutes à la fois. Les pieds remuaient sur les froids carreaux bleus du temple. Une paysanne se dirigea vers la sortie, puis une autre. Le sacristain parut avec un éteignoir, et un filet de fumée bleue remplaça la flamme des bougies. Le jour était né. Une lumière grise pénétrait dans la nef en même temps que des courants d'air. Il restait trois personnes... Deux... Une chaise remuait... Il ne restait plus que la comtesse, et les nerfs de Maigret se crispèrent d'impatience... Le sacristain, qui avait terminé sa tâche, regarda Mme de Saint-Fiacre. Une hésitation passa sur son visage. Au même moment le commissaire s'avança. Ils furent deux tout près d'elle, à s'étonner de son immobilité, à chercher à voir le visage que cachaient les mains jointes. Maigret, impressionné, toucha l'épaule. Et le corps vacilla, comme si son équilibre n'eût tenu qu'à un rien, roula par terre, resta inerte. La comtesse de Saint-Fiacre était morte.

extrait épique

[Une étape du Tour de France 1964.]
C'est la journée de repos. Raymond Poulidor, comme les autres champions, roule, s'entraîne, teste les braquets sur les pentes environnantes. En guise d'entraînement, Jacques Anquetil, polo gris, pantalon gris et mèche blonde - mèche que l'on ne reverra plus jamais dans le peloton hormis au front d'Evgueni Berzin , l'enfant des loups - débarque au méchoui organisé dans la Principauté par Radio Monte Carlo. Cuissot, rognons, sangria : tout finit dans le buffet de Jacques. Le lendemain, dès les premiers lacets de l'interminable col d'Envalira et vexé par tant de désinvolture, le gratin des pentes - Raymond Poulidor, Federico Bahamontes et Julio Jimenez - place un terrible démarrage et s'envole. Anquetil monte, livide, avec cuissot, rognons et sangria. L'écart se creuse, atteint les quatre minutes, Poulidor peut s'emparer du maillot jaune. Au sommet, mort, raide, à la dérive, Anquetil avale un bidon de champagne, se jette à fond dans une descente rendue extrêmement dangereuse par l'épais brouillard, revient sur les échappés, distance Poulidor et gagne le Tour. Champagne ! Anquetil a tout gagné, sauf, peut-être, le cœur du public qui battait plus pour Raymond Poulidor que pour le Viking de Quincampoix. Parce que Raymond Poulidor, vainqueur de Milan-San Remo, restait, même couvert de fleurs, un petit paysan de la Creuse. Il était l'enfant de la France des villages, des épiceries et des cours de ferme, celle qui regarde passer le Tour, en encourageant, avec toujours plus de chaleur, le champion que la malchance accable. De plus, ces Français que la géographie à l'école ennuya, ont tous un faible pour les champions qui règnent sur les paysages démesurés, affrontent la nature en colère, les éléments déchaînés. Un faible pour Charly Gaul dans la neige de Monte Bondone, sous la pluie mitraillant son corps d'ange dans les grands cols de la Chartreuse. Un faible pour Federico Bahamontes dans la fournaise d'Aubisque, seul et devant sous le soleil meurtrier du Litor. Jacques Anquetil, lui, le chronomaître, ne se bat que contre un ruban de route maigre comme Don Quichotte. Le paysage ne compte pas. Il n'est le tremplin d'aucun rêve, un lieu lisse qui fait d'Anquetil un champion abstrait. Abstrait ? Non, éolien ! Anquetil se bat contre Éole, affronte ses légions de verre et de ouate. Et sa froideur apparente est celle d'une lame de couteau. Regardons-le, splendide, sur son Helyett, son drakkar vert. C'est une sagaie, une flèche, la tête blonde d'une fusée perforant la bidoche invisible du vent.

extrait lyrique

L'automne , de Lamartine
Salut, bois couronnés d'un reste de verdure,
Feuillages jaunissants sur les gazons épars!
Salut, derniers beaux jours! le deuil de la nature
Convient à la douleur et plaît à mes regards.
Je suis d'un pas rêveur le sentier solitaire;
J'aime à revoir encor, pour la dernière fois,
Ce soleil pâlissant, dont la faible lumière
Perce à peine à mes pieds l'obscurité des bois.
Oui, dans ces jours d'automne où la nature expire,
A ses regards voilés je trouve plus d'attraits;
C'est l'adieu d'un ami, c'est le dernier sourire
Des lèvres que la mort va fermer pour jamais.
Ainsi, prêt à quitter l'horizon de la vie,
Pleurant de mes longs jours l'espoir évanoui,
Je me retourne encore, et d'un regard d'envie
Je contemple ses biens dont je n'ai pas joui.

extrait lyrique

L'automne , de Lamartine
Salut, bois couronnés d'un reste de verdure,Feuillages jaunissants sur les gazons épars!Salut, derniers beaux jours! le deuil de la natureConvient à la douleur et plaît à mes regards.Je suis d'un pas rêveur le sentier solitaire;J'aime à revoir encor, pour la dernière fois,Ce soleil pâlissant, dont la faible lumièrePerce à peine à mes pieds l'obscurité des bois.Oui, dans ces jours d'automne où la nature expire,A ses regards voilés je trouve plus d'attraits;C'est l'adieu d'un ami, c'est le dernier sourireDes lèvres que la mort va fermer pour jamais.Ainsi, prêt à quitter l'horizon de la vie,Pleurant de mes longs jours l'espoir évanoui,Je me retourne encore, et d'un regard d'envieJe contemple ses biens dont je n'ai pas joui.

les tonalités

Les différentes tonalités :

Tonalité

Lyrique : description exagéree d'embellir une situation, on general se sont des lieux magique, ou il y a la nature. Ce sont des textes sur l'amour.

Epique : il y a un héros, exagération. c'est de plus en plus fort. On y trouve des hyperboles.


Pathétique : le but est de faire pleurer, d'émouvoir le publique. On utilise des hyperboles, des images fortes. Les personnages sont présentés comme des victimes. En général, les champs lexicaux employés sont la mort, la vieillesse, la souffrance, la misere.

Tragique : on vise la peur et la pitié. souvent lié au genre théâtrale. le héro est souvent poussé a l'échec soit par le malheur ou par la mort. Mis en valeur par les champs lexicaux suivants : la faute, la nessecité, l'amour et la mort.

Fantastique : cette tonalité a pour but de faire évader le lecteur en lui créant un monde merveilleux. soit en le laissant rêver soit en faisant allusion a la réalité en introduisant des personnages et des choses fictives.

Humoristique : Il donne une dimension comique à un sujet sérieux en dévoilant ses aspects surprenants.

jeudi 16 avril 2009

le dialogue argumentatif

Discours théâtrale :

Dans cette scène, deux amies dinent dans un nouveau restaurant panoramique, avec vue sur la Loire au décor rustique.
Une fois installée, les deux amies prennent l'apéritif et lancent un débat.

Marion _ Il est vraiment bien ce restaurant, j'ai appris que le responsable a ouvert l'entreprise sans formation. C'est intérressant de voir que des personnes extérieurs s'impliquent dans ce mêtier.

Christelle _ Faut s'accrocher car les niveaux sur la gestions d'une entreprise sont dûrent pour ouvrir sa propre entreprise. Encore hier, j'ai vu un restaurant qui fermait car il ne pouvait plus suivre.

D'un air contrarié.

Marion _ Oui, mais ce n'est pas un exemple concrèt car il peut embaucher un comptable. C'est pourquoi, les salariés sont responsable car ils doivent gérer l'entreprise et former le patron.

Le patron sert le vin.

Marion _ Regarde, ici le patron est passionné pour les vins et il ne gère que ceci, il est depuis toujours incollable sur le sujet.

Avec un air éffaré.

Christelle _ Je ne suis pas d'accord avec toi, ce n'est pas aux salariés de former le patron, mais bien à ce dernier de dirigé ses ouvriers grâce à son expérience sur le mêtier et des connaissances sur les produits.

Marion _ D'accord, mais cela peut-être originale de faire l'inverse. Ceci peut-être enrichissant au sein de toute l'entreprise.

Christelle _ A quoi bon, alors, de former des élèves pour diriger, à leur tour, leur propre entreprise ?

Marion _ Conversation clause, on en reparle après le café.

Les entrées arrivent et les deux amies partent sur un nouveau sujet de conversation.

le dialogue argumentatif

Le récit :

Deux amies dinaient dans un nouveau restaurant panoramique avec une vue sur la Loire au décor rustique. Autour d'un apéritif, celles-ci discutaient au sujet des futurs employeurs sans formation dans l'hôtellerie-Restauration.
Une des amies, Marion, commença en disant :
"- Il est vraiment bien ce restaurant, j'ai appris que le responsable à ouvert l'entreprise sans formation. C'est intérressant de voir que des personnes extérieurs s'impliquent dans ce mêtier.
-Faut s'accrocher, répliqua Christelle, car les niveaux sur la gestion d'une entreprise sont dûrent pour ouvrir sa propre entreprise, encore hier, j'ai vu un restaurant qui fermait car il ne pouvait plus suivre.
-Oui, répondit Marion d'un air contrarié, mais ce n'est pas un exemple concret car il peut embaucher un comptable. C'est pourquoi les salariés sont responsables car ils doivent gérer l'entreprise et former le patron.
Pendant ce temps, le patron servit le vin.
-Regarde, ajouta Marion, ici le patron est passioné pour les vins et il ne gère que ceci. Il est depuis toujours incollable sur le sujet.
-Je ne suis pas d'accord avec toi, répliqua Christelle d'un air éffaré, ce n'est pas aux salariés de former le patron, mais bien à ce dernier de diriger ses ouvriers grâce à son expérience sur le mêtier et des connaissances sur les produits.
-D'accord, mais cela peut-être originale de faire l'inverse. Ceci peut-être enrichissant au sein de toute l'entreprise.
-A quoi bon, alors, de former des élèves pour diriger à leur tour, leur propre entreprise ?
-Conversation clause, répondit Marion, on en reparle après le café."
Les entrées arrivèrent et les deux amies repartèrent sur un nouveau sujet.

jeudi 19 mars 2009

Dialogue théâtral


un couple installé dans un restaurant avec une étoile au guide michelin. Discute.

enchanté

Marion - Je trouve ça super les guides car tu vois ça leur apporte beaucoup de clients. Le restaurant est très renommé grâce à cette étoile. T'es d'accord avec moi ?

Sébastien - Tu as raison mais sont-ils tous des bons restaurants ? Non je ne crois pas mais de très bons restaurants n'y sont même pas alors que certains y sont.

véxée

Marion - Non tu ne dois pas dire ça, si des restaurants n'y sont pas c'est qu'ils ne sont pas de très bonne qualité. Grâce au guide les restaurants gardent leur qualité tout le temps et l'hygiène en cuisine est irréprochable.

Sébastien - Qu'appelles-tu de très bonne qualité ? Est-ce l'accueille ou le service ? Car pour moi de bonne qualité signifie bon rapport qualité/prix et une cuisine raffinée. Regarde ce que l'on mange.

montre du doigt l'assiette.

Marion - La nourriture est très bonne, l'accueille est parfait. Tu te souviens du week end dernier, le restaurant n'avais pas d'étoiles et heureusement car les serveurs ne savaient pas sourir.

énervé

Sébastien - Arrête de fumer, sa te détruit le palais ! Ce que nous mangeons ce n'est que du surgelé par rapport au week end dernier et si ce restaurant n'y étais pas c'est parce qu'il n'a pas déboursé d'argent aux auteurs du guide contrairement à celui-ci. Voilà pourquoi il y a autant de mauvais restaurants dans le guide.

Marion - Bon tu veux toujours avoir raison...

lui coupant la parole.

Sébastien - mais j'ai toujours raison.

Marion - alors bon appétit.

Grille argumentative


Sujet : Pour ou contre les guides gastronomiques


Grille argumentative :


Intro : je suis pour les guides touristiques.


Argument 1 : les guides permettent de faire connaître un restaurant. et de lui apporter plusieurs clients.

Exemple 1 : quand un restaurant obtient une étoile ou est sités dans un guide il obtient 30% de clientèle en plus.


Argument 2 : le restaurant garde une qualité constante.

Exemple 2 : si un restaurant est sité c'est qu'il est de bvonne qualité c'est pourquoi le client sait déja qu'il va bien manger quand il entre dans le restaurant.


Argument 3 : les cuisines du restaurant sont très propre.

Exemple 3 : l'hygiène est irréprochable, car elles sont vérifiées très souvent.


Conclusion : le guide permet de donner un certain luxe dans les restaurant et les guides assure le lendemain des restaurants car il y aura toujours des gens relativement riche pour aller dans ce type de restaurant.

dialogue argumentatif ?!?!


Le dialogue argumentatif:
Dans un dialogue argumentatif, il faut mettre en présence deux thèses qui s'opposent. Il va donc faloir pocéderen deux temps: identifier dans un premier temps les deux thèses en développant l'argumentation puis ensuite se plier aux éxigeances du dialogue.
I. Recherche sur l'argumentation:
On procedera pour chaque thèse de la manière suivante:
Introduction partielle (thèse+présentation des arguments)
- *Argument n°1 + explication + justification + exemple
- *Argument n°2 + explication + justification + exemple
- *Argument n°3 + explication + justification + exemple
Conclusion partielle (bilan)
(* = connecteurs logiques)
On introduira d'une manière générale les différentes thèses en présence, tout comme on fera une conclusion générale.
II. Le dialogue:
Il faudra reprendre l'introduction générale en présentant rapidement la situation et les personnages qui vont défendre les différentes thèses. Ensuite on alternera de la manière suivante les arguments:
- Argument n°1 + réponse argument n°1
- Argument n°a + réponse argument n°a
- Argument n°2 + réponse argument n°2
- Argument n°b + réponse argument n°b
- Argument n°3 + réponse argument n°3
- Argument n°c + réponse argument n°c
Il n'est pas interdit de faires preuve d'intelligence et de répondre par l'argument n°b à l'argument n°1 si il est plus pertinant que l'argument n°a.
On procédera ensuite à la mise en forme de rendre vivant ce dialogue, à savoir:
- emploi des guillemets
- emploi de tirets
- emploi de verbes introducteurs vaiés
- emploi de ponctuation
- emploi d'interjections
- emploi didascalies (théâtral)
- faire vivre par la narration les personnages
- terminer par une conclusion (soir l'un a convaincu l'autre, soir ils repartent sur les mêmes principes) qui souligne l'évolution de la situation après l'échange d'arguments.



http://www.intellego.fr/soutien-scolaire-2nde/aide-scolaire-Francais/Le-dialogue-argumentatif/4557

jeudi 22 janvier 2009

extrait de journal intime


Extrait du journal d'Anne Franck :


Anne Frank raconte, au début de son journal, les persécutions subies par les Juifs« Il faut que je résume l'histoire de ma vie, quoi qu'il m'en coûte. Mon père, le plus chou des petits papas que j'aie jamais rencontrés, avait déjà trente-six ans quand il a épousé ma mère, qui en avait alors vingt-cinq. Ma sœur Margot est née en 1926, à Francfort-sur-le-Main en Allemagne. Le 12 juin 1929, c'était mon tour. J'ai habité Francfort jusqu'à l'âge de quatre ans. Comme nous sommes juifs à cent pour cent, mon père est venu en Hollande en 1933, où il a été nommé directeur de la société néerlandaise Opekta, spécialisée dans la préparation de confitures. Ma mère, Edith Frank-Hollander, est venue le rejoindre en Hollande en septembre. Margot et moi sommes allées à Aix-la-Chapelle, où habitait notre grand-mère. Margot est venue en Hollande en décembre et moi en février et on m'a mise sur la table, parmi les cadeaux d'anniversaire de Margot. Peu de temps après, je suis entrée à la maternelle de l'école Montessori, la sixième. J'y suis restée jusqu'à six ans, puis je suis allée au cours préparatoire. En CM2, je me suis retrouvée avec la directrice, Mme Kuperus, nous nous sommes fait des adieux déchirants à la fin de l'année scolaire et nous avons pleuré toutes les deux, parce que j'ai été admise au lycée juif où va aussi Margot. Notre vie a connu les tensions qu'on imagine, puisque les lois antijuives de Hitler n'ont pas épargné les membres de la famille qui étaient restés en Allemagne. En 1938, après les pogroms (1), mes deux oncles, les frères de maman, ont pris la fuite et se sont retrouvés sains et saufs en Amérique du Nord, ma grand-mère est venue s'installer chez nous, elle avait alors soixante-treize ans. A partir de mai 1940, c'en était fini du bon temps, d'abord la guerre, la capitulation, l'entrée des Allemands, et nos misères, à nous les juifs, ont commencé. Les lois antijuives se sont succédé sans interruption et notre liberté de mouvement fut de plus en plus restreinte. Les juifs doivent porter l'étoile jaune ; les juifs doivent rendre leurs vélos, les juifs n'ont pas le droit de prendre le tram ; les juifs n'ont pas le droit de circuler en autobus, ni même dans une voiture particulière ; les juifs ne peuvent faire leurs courses que de trois heures à cinq heures, les juifs ne peuvent aller que chez un coiffeur juif ; les juifs n'ont pas le droit de sortir dans la rue de huit heures du soir à six heures du matin ; les juifs n'ont pas le droit de fréquenter les théâtres, les cinémas et autres lieux de divertissement ; les juifs n'ont pas le droit d'aller à la piscine, ou de jouer au tennis, au hockey ou à d'autres sports ; les juifs n'ont pas le droit de faire de l'aviron ; les juifs ne peuvent pratiquer aucune sorte de sport en public. Les juifs n'ont plus le droit de se tenir dans un jardin chez eux ou chez des amis après huit heures du soir ; les juifs n'ont pas le droit d'entrer chez des chrétiens ; les juifs doivent fréquenter des écoles juives, et ainsi de suite, voilà comment nous vivotions et il nous était interdit de faire ceci ou de faire cela. Jacque me disait toujours : " Je n'ose plus rien faire, j'ai peur que ce soit interdit. " »

jeudi 15 janvier 2009

Exemple de journal intime

Chère Kitty,
Aujourd’hui, je n’ai que des nouvelles sinistres et déprimantes à te donner. Nos nombreux amis juifs sont emmenés par groupes entiers. La Gestapo ne prend vraiment pas de gants avec ces gens, on les transporte à Westerbork, le grand camp pour juifs en Drenthe, dans des wagons à bestiaux.
Miep nous a parlé de quelqu’un qui s’est échappé de Westerbork. Westerbork doit être épouvantable. On ne donne presque rien à manger aux gens, et encore moins à boire, car ils n’ont de l’eau qu’une heure par jour et un W.C. et un lavabo pour plusieurs milliers de personnes. Ils dorment tous ensemble, hommes, femmes et enfants ; les femmes et les enfants ont souvent la tête rasée. Il est presque impossible de fuir, les gens du camp sont tous marqués par leurs têtes rasées et pour beaucoup aussi par leur physique juif.
S’il se passe déjà des choses aussi affreuses en Hollande, qu’est-ce qui les attend dans les régions lointaines et barbares où on les envoie ? Nous supposons que la plupart se font massacrer. La radio anglaise parle d’asphyxie par les gaz ; c’est peut-être la méthode d’élimination la plus rapide.
Je suis complètement bouleversée. Miep raconte toutes ces horreurs de façon si poignante, elle est elle-même très agitée. L’autre jour, par exemple, une vieille femme juive paralysée était assise devant sa porte, elle attendait la Gestapo qui était allée chercher une voiture pour la transporter. La pauvre vieille était terrifiée par le bruit des tirs qui visaient les avions anglais et les éclairs aveuglants des projecteurs. Pourtant Miep n’a pas osé la faire entrer, personne ne l’aurait fait. Ces messieurs les Allemands ne sont pas avares de punitions.
Bep n’est pas très gaie non plus, son fiancé doit partir en Allemagne. Chaque fois que des avions survolent nos maisons, elle tremble que leur cargaison de bombes, qui va souvent jusqu’à un million de kilos, ne tombe sur la tête de Bertus. Des plaisanteries du genre : il n’en recevra sans doute pas un million et une bombe suffit, me paraissent un peu déplacées. Bertus est loin d’être le seul à partir, tous les jours des trains s’en vont, bondés de jeunes gens. Lorsqu’ils s’arrêtent à une gare en trajet, ils essaient parfois de se glisser hors du train et de se cacher ; un petit nombre d’entre eux y réussit peut-être. Je n’ai pas fini ma complainte. As-tu déjà entendu parler d’otages ? C’est leur dernière trouvaille en fait de punition pour les saboteurs. C’est la chose la plus atroce qu’on puisse imaginer ? Des citoyens innocents et haut placés sont emprisonnés en attendant leur exécution. Si quelqu’un commet un acte de sabotage et que le coupable n’est pas retrouvé, la Gestapo aligne tout bonnement quatre ou cinq de ces otages contre un mur. Souvent, on annonce la mort de ces gens dans le journal. À la suite d’un « accident fatal », c’est ainsi qu’ils qualifient ce crime. Un peuple reluisant, ces Allemands, et dire que j’en fais partie ! Et puis non, il y a longtemps que Hitler a fait de nous des apatrides, et d’ailleurs il n’y a pas de plus grande hostilité au monde qu’entre Allemands et juifs.
Bien à toi,
Anne

http://lewean.gnomz.com/42457-extrait-du-journal-d-anne-frank.html

Le journal intime !


Un journal intime (ou personnel) est un écrit élaboré au fil du temps (typiquement — étymologiquement — une intervention par jour) et qui s'intéresse avant tout aux sentiments, pensées et aventures intimes du « diariste » (ainsi appelle-t-on la personne qui tient un journal intime, néologisme proposé par Michèle Leleu en 1952).

Il peut ainsi évoquer des périodes variées de l'existence (maladie, travail, guerre, deuil, amours...)
Il est destiné à être gardé secret, soit dans l'immédiat (pour quelques mois ou années), soit définitivement (le diariste n'écrit alors que pour lui-même : à terme il détruira son œuvre ou en demandera la destruction). Il peut aussi être transmis à un fonds de conservation, tel que le propose l'Association pour l'Autobiographie. La lecture pourra alors en être autorisée ou interdite, selon les souhaits de l'auteur.
Parmi tous les journaux personnels publiés, le plus connu est Le Journal d'Anne Frank. Considéré comme une œuvre majeure, ce journal témoigne de la vie d'une enfant juive pendant la Seconde Guerre Mondiale, contrainte de se cacher dans une annexe d'un immeuble à Amsterdam pour échapper à la déportation.
Lorsque le diariste utilise un support numérique, on parle de wordlog (mot-valise anglophone construit sur Word et log, journal) si le journal est destiné à demeurer intime et de weblog, généralement abrégé enblog quand, à l'inverse, les écrits sont diffusés au plus grand nombre via Internet. Le caractère intime des « journaux intimes en ligne » (certains parlent dans ce cas de « journaux extimes ») surInternet est un paradoxe qui soulève beaucoup de questions et suscite parfois un certain malaise. C'est une pratique en évolution constante, née au milieu des années 1990, avec la variante plus récente constituée par une part des blogs.

Le discours : voter ma loi !

Sujet : Vous êtes député, vous rédigez un discours selon le model de Hugo, Rousseau pour proposée une loi étrange, abracadabrante ...

Mesdames, Messieurs, votez cette loi, la France doit changer. Les gens doivent ce faire plaisir, il ne faut plus les empêcher de faire leur vie tranquille. Il faut consommer, boire, être tout le temps ivre, on rigole beaucoup plus et on n'oublie tous les soucis de la vie quotidienne. Il faut conduire avec 2 grammes d'alcool minimum dans le sang. Les gens abimeront plus vite leur voiture et donc les taux de ventes augmenteront. Ils détruireront tous se qui entourent les routes donc il faudra réparer. Ceci créera des emplois. Et puis comme ça la ville sera de plus en plus belle le décor sera toujours neuf, jolie et design. Cette loi ne peut-être que positive. Quel plaisir d'être ivre toute la journée.
A quoi ça sert d'être sage ? Avons-nous le droit de ce faire plaisir ?
Le seul plaisir est de boire toute la journée pour être joyeux quoi qu'il arrive.
A vous de voter pour cette loi.